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LE GROUPE

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Phosphen est un groupe composé de 4 jeunes clermontois naviguant entre électro planante et pop funk, parfois agrémentée d'une subtile touche de rock. Le tout est porté par une voix féminine aux nuances tantôt douces, tantôt puissantes. L’univers du groupe offre une expérience à la croisée de sons rétro et de notes modernes qui forgent son identité.

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Théo, aussi appelé "Le Machiniste", pianote sur la vague de douces mélodies tout aussi planantes qu’entraînantes.

Sa première approche musicale s’est faite sur des compositions uniquement produites sur ordinateur.

Il s’essaye d’abord à différents styles, comme l’EDM, la Techno House ou encore la Trance Psychédélique grâce à des artistes tels que Gesaffelstein, Stephan Bodzin ou encore Mandragora, ce qui nécessite une maîtrise parfaite des sonorités si singulières propres à ce registre. De par ses influences de styles musicaux variés et son expérience sur les logiciels de musique assistée par ordinateur (MAO), Théo s’oriente vers le Beatmaking.

Il produit alors différentes instrumentales allant du Hip-Hop à la Trap, en passant aussi par la Future Bass. Déjà très à l’aise dans le domaine musical, c’est au lancement du groupe Phosphen qu’il décide de s’intéresser à un registre différent mais tout aussi enrichissant: le Rock.

Il met alors en oeuvre ses connaissances dans la composition pour passer de ses instruments virtuels à de véritables synthétiseurs, de façon à donner corps à un son beaucoup plus incarné, tant dans la création musicale que sur scène.

À ce jour, Théo apporte un côté électronique et moderne qui caractérise la musique de Phosphen.

Jade est chanteuse et auteure des textes au sein du groupe.

Ayant depuis toujours une fascination certaine pour les arts de la scène, c’est le chant qui, au fil des années, s’impose à elle comme une évidence. Elle commence simplement par se produire lors de spectacles scolaires, puis à l’âge de treize ans elle rejoint le groupe de musiques actuelles de l’école de musique de Volvic. Elle y passe cinq années au cours desquelles elle apprend à développer sa technique, son amour de la scène et sa capacité à chanter en groupe.

Durant quelques mois à l’âge de seize ans, elle prend également des cours de chant auprès d’une professionnelle afin de renforcer certains aspects techniques tels que la respiration et l’articulation. Son amour de l’écriture apparaît également très tôt. Jade est depuis toujours une littéraire endurcie ; elle écrit des nouvelles, des poèmes et quelques chansons enfantines qu’elle interprète dans la cour de l’école.

Ce n’est qu’à l’âge de dix-sept ans qu’elle commence réellement à écrire des chansons, ainsi qu’à trouver les mélodies qui les accompagnent.

Dans ses textes, Jade aborde bien souvent des thèmes sombres et mélancoliques, y puisant une grande partie de son inspiration. Ses principales influences sont souvent des groupes tels que Pink Floyd ou AaRON, duo français au style très parlant pour la jeune chanteuse. Elle s’essaie tout de même, de temps à autre, à des textes plus légers sur des morceaux aux notes funky et dansantes.

Vocalement, Jade ne se limite pas à un style mais tente plutôt d’explorer de nombreuses pistes, alliant à la fois puissance et sensibilité. Grâce à son parcours et à son implication, Jade est aujourd’hui l’un des piliers fondateurs du groupe Phosphen.

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Théo, guitariste du groupe, s’est majoritairement formé en autodidacte.

C’est à l’âge de douze ans qu’il reçoit, pour Noël, sa première guitare électrique. Très vite, il se passionne pour deux groupes : Pink Floyd et Red Hot Chili Peppers, dont il apprendra toute la discographie.

Il s’attache rapidement à la justesse du son et des notes, ayant pour habitude de reprendre des morceaux à l’oreille. Au début de son apprentissage, Théo s’est beaucoup intéressé au blues en étudiant des bluesmen tels que Byther Smith, BB King et bien d’autres pour poser les bases de son jeu.

Ce dernier est un mélange d’influences empreintes de la funk, du rock progressif, du nu métal et du blues. Théo axe son jeu de guitare sur la sincérité et la sensibilité des notes, délaissant volontairement l’application d’une technicité pure et démonstrative ; jouer moins de notes en ne sélectionnant que les plus pertinentes (« Less is More ») articuler les notes entre elles en les ponctuant de silences et de respirations à l’image d’une conversation.

De toutes les guitares qu’il possède, la Fender Stratocaster 56 s’impose à lui comme une évidence lui permettant d’exprimer pleinement l’essence même de son jeu. Théo s’affirme aujourd’hui comme l’un des compositeurs mélodiques majeurs au sein de Phosphen.

Antoine, batteur du groupe, a commencé son apprentissage musical par le violon.

Ce n’est que vers l’âge de dix ans sur les conseils de sa soeur, qu’il s’essaye à la batterie. Le coup de foudre est immédiat et la batterie devient alors son instrument de prédilection.

Au cours de sa formation Antoine s’intéresse à des groupes tels que Queen of the Stone Age, Ty Segall, Joy Division ou encore Royal Blood. Son jeu est donc empreint d’une identité mêlant le rock stoner et le garage rock. Antoine s’emploie particulièrement à mettre l’accent sur la justesse et la puissance de sa frappe, donnant une importance toute particulière au groove de ses rythmiques.

Ayant une certaine expérience de la scène, Antoine est un batteur exigeant et perfectionniste toujours à la recherche du break le plus pertinent. Les cymbales et les baguettes fendues, qu’il compte par dizaines de paires, résultent de son assiduité et de sa persévérance constante derrière sa batterie.

Dernier arrivé dans la formation, Antoine vient compléter le puzzle apportant à Phosphen l’énergie brute et tranchante de ses influences et convictions musicales.

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